Bonjour à tous,
Par l'école, vous avez été informés qu'il n'y aurait pas classe le mercredi 15 octobre et que les enfants pourraient être accueillis dans le cadre d'une journée complète au centre de loisirs.
Cette journée, appelée "journée banalisée", a pour objectif de réunir les enseignants pour une concertation sur les nouveaux programmes. Elle se répètera environ 3 fois au cours de l'année, les dates n'en sont pas encore connues.
La fédération PEEP-Paris nous informe que le syndicat SUPAP-FSU dépose des préavis de grèves pour les animateurs, REV et ASEM pour la journée du 15 octobre, et nous a transmis leur communiqué (en pièce jointe)
Le motif : la mairie de Paris a décidé de les faire travailler exceptionnellement ce mercredi matin.
=> S'il est possible, l'accueil de nos enfants risque de prendre la forme d'une garderie, type "service minimum d'accueil".
MIS A JOUR LE 09 OCTOBRE : la REV annonce que l'accueil des enfants le matin et à la cantine NE SERA PAS ASSURE le 15 OCTOBRE à JOUFFROY car il n'y a pas assez d'animateurs ! LE CENTRE SERA FERME.
MIS A JOUR LE 09 OCTOBRE : la REV annonce que l'accueil des enfants le matin et à la cantine NE SERA PAS ASSURE le 15 OCTOBRE à JOUFFROY car il n'y a pas assez d'animateurs ! LE CENTRE SERA FERME.
Bonne lecture.
Anne-Sophie Didot
Tous en grève le 15 octobre !Suite à la décision de l’éducation nationale d’organiser des réunions pédagogiques à la place de la matinée scolaire habituelle, la direction des affaires scolaires n’a toujours pas pris de décision sur les modalités de déroulement de la journée du 15 octobre dans les écoles suite à la décision de l’éducation nationale d’organiser des réunions pédagogiques à la place de la matinée scolaire habituelle.
Au cas où un accueil serait décidé, ce qui n’est pas tranché, les modalités de cet accueil s’orienteraient plus sur une garderie que sur un véritable centre de loisirs.
Les modalités de paiement ou de compensation du temps de travail supplémentaire ne sont pas prévues et pourraient être différentes selon les catégories professionnelles. La mobilisation des collègues vacataires à la dernière minute ne peut que poser problème.
Les parents sont à juste titre inquiets. Les personnels, comme d’habitude subissent les conséquences de l’impréparation de la Ville et n’ont aucune envie de servir de bouche-trou dans cette situation hasardeuse et potentiellement chaotique.
Dans ces conditions, notre syndicat a décidé de déposer un préavis de grève de 24 heures, sur la journée du 15 octobre, pour les personnels travaillant dans l’animation en proposant de concentrer l’action de grève sur le temps où nous ne sommes pas habituellement en service.Au cas où la DASCO s’aviserait de faire participer les ASEM à cette garderie déguisée, nous déposons aussi un préavis de grève pour les ASEM.Les retenues pour la grève sont proportionnelle à la durée de la grève soit : retenue pour une heure d’absence : 1/210 du salaire ; retenue pour un quart de journée d’absence 1/120e ; retenue pour une demi-journée d’absence : 1/60e retenue pour 3/4 de journée d’absence : 1/40e ; retenue pour une journée : 1/30e.La retenue dépend donc du service que vous effectuez cette journée !
Cette grève doit aussi être l’occasion de réaffirmer nos revendications :adopter les normes d’encadrement d’un adulte pour dix enfants en maternelle et d’un pour quatorze en élémentaire pour les activités périscolaires ;
développer les formations qualifiantes et débouchant sur de vrais diplômes. Le BAFA, le BAFD et le CAP petite enfance ne doivent être que des points de départ et non des points d’arrivée ;
agir avec l’ensemble des professionnels concernés pour des rythmes scolaires, éducatifs et de loisirs compatibles avec les besoins des enfants, mais aussi avec les conditions de travail des professionnels et des emplois statutaires à plein temps. Il faut une ASEM par classe, titulariser et former l’ensemble des professionnels (ATE, ASEM,AREM, animateurs,…), mettre en place un responsable éducatif ville (REV) par école, expérimenter d’autres aménagements horaires, débattre dans le cadre d’un forum interprofessionnel de l’enfance des mesures concrètes à prendre.
Nos revendications par profession Adjoints d’animationL’augmentation des primes des BCD/EPL ;
La transformation des postes de DPA en postes de REV ;
Des formations qualifiantes pour tous débouchant sur le BPJEPS
Des aménagements de poste en fin de carrière (tutorat, personnes ressources pour projet d’animation) ;
La titularisation des adjoints d’animation contractuels ;
Une rémunération des vacations ARE au moins équivalente à celle des études surveillées.
REVDes formations débouchant sur le DEJEPS ;
Des primes équivalentes à celles de la filière administrative ;
La création d’un REV par école ;
Le recentrage des fonctions sur les activités pédagogiques et de soutien aux équipes.
ASEMUne prime équivalente à celle des adjoints d’animation sur le temps ARE, soit 950 euros par an ;
La possibilité de ne pas effectuer l’ARE pour les collègues qui ne le souhaitent pas ;
Un temps de préparation pour les ateliers ;
Une réécriture du règlement de service permettant des aménagements d’horaires dans l’intérêt du service et des agents avec la possibilité d’un horaire 7h30 16h30 pour celles qui le souhaiteraient ;
La titularisation des 300 ASEM contractuelles ;
Des formations passerelles permettant de déboucher sur d’autres métiers (animation, petite enfance, métiers administratifs,…) ;
Des formations diplômantes.
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